APPEL A LA PARTICIPATION SUR LE FUTUR DE L'ORGANISATION !
Le Groupe de réforme de ICOM (RTF) appelle instamment à la participation du
Comité consultatif mais plus généralement de tous les membres de l'ICOM. Ce
texte propose cinq orientations pour la restructuration de notre
Organisation.
INTRODUCTION
L'ICOM-RTF, groupe de travail chargé, en octobre 1998 (lors de l'Assemblée
générale de l'ICOM) et en juin 1999 (lors des réunions du Comité consultatif
de l'ICOM) d'entreprendre un réexamen organisationnel et une réforme
structurelle de l'ICOM, s'est attelé à la tâche dès juin 1999.
Le Groupe de travail ICOM-RTF s'est effectivement constitué en juin 1999
(après la nomination officielle de membres à la suite des discussions menées
par les Comités nationaux et internationaux lors des réunions du Comité
consultatif, à Paris). A l'époque, je fus également conviée à coordonner le
travail du Groupe de travail au nom du Conseil exécutif.
Depuis juin 1999, le Groupe de travail s'est réuni à deux reprises pour
remplir son mandat : en octobre 1999, à Paris ; puis en décembre 1999, à
Madrid (date à laquelle le Groupe de travail a en outre organisé une réunion
avec le Conseil exécutif afin d'élaborer une déclaration commune sur la
mission et les valeurs clés de l'ICOM, et ce pour guider les processus de
réexamen en cours).
Autre activité importante réalisée par le Groupe de travail sur deux
journées à Madrid : une réflexion stratégique et l'élaboration de scénarios
portant sur l'avenir de l'ICOM. Ces scénarios stratégiques, directement
inspirés de la Déclaration de mission et de valeurs mise au point avec le
collaboration du Conseil exécutif (en décembre), prennent aussi en compte
toutes sortes d'informations jusque là recueillies par le Groupe de travail.
La forme actuelle des scénarios élaborés, mérite quelques. Tout d'abord, ces
déclarations ne sont que des PROJETS et toute suggestion sera la bienvenue.
Il est cependant urgent que nous réunissions sur ces PROJETS tous les
commentaires que les membres pourraient faire à travers les présidents de
Comités et leur réseau de discussion. En juin 2000,à Paris, un débat
s'engagera sur les scénarios proposés. La liste de distribution ICOM-L
constituant également un forum de discussion important, il est primordial
que les membres puissent s'y exprimer, largement et spontanément et donner
rapidement leur opinion.
POURQUOI EST-IL NÉCESSAIRE D'ENVISAGER DANS UN PREMIER TEMPS UNE VISION TRES
LARGE DU FUTUR ?
Pour qu'un processus de réexamen ou de réforme au niveau organisationnel ait
des chances réelles de ,succès, il est nécessaire de dépasser résolument
l'étape de description des symptômes et d'analyse des points faibles
(laquelle, d'ailleurs, mentionne au premier chef le besoin de réforme). Dans
cette perspective, il est important de sortir du cadre du présent immédiat,
d'anticiper sur le devenir de l'ICOM (nos prévisions se basent sur une
période de cinq ans avec un bilan sur la restructuration en 2005 et
d'éventuelles améliorations) pour apporter des solutions créatives.
C'est seulement au prix de cette perspective étendue et de ce " travail de
réflexion " qu'il nous sera possible de coordonner les données spécifiques
et d'unifier les diverses options exprimées. Une fois ces tâches accomplies,
il convient, bien entendu, de revenir aux conditions du présent, avec une
idée plus claire du type de changements interdépendants à mettre en oeuvre.
L'ICOM a besoin d'une vision à long terme du changement, sans commune mesure
avec une liste éparse de modifications à apporter au statu quo.
Par ces quelques remarques, j'ai voulu préciser, d'une part, l'orientation
des travaux préliminaires qui se sont imposés à nous et, d'autre part,
comment nous sommes arrivés à produire les documents ici transmis. Les
documents qui vont suivre s'accompagnent d'une requête pressante : qu'ils
fassent l'objet de larges discussions avec vos collègues et que vous nous
fassiez part de vos commentaires avant le 17 MARS 2000 au plus tard si
possible par email ([log in to unmask]). Vous pouvez répondre à ce
document :
1. En utilisant l'adresse email du Secrétariat :
[[log in to unmask]]. Merci de bien vouloir indiquer ICOM-RTF sur votre
réponse afin qu'elle soit identifiée.
2. En utilisant le fax de l'ICOM : (33.1) 43.06.78.62
3. Vous pouvez également répondre de façon informelle sur la liste de
distribution ICOM-L (elle est accessible à toute personne disposant d'un
email)
[http://home.ease.lsoft.com/archives/icom-l.html]
4. En envoyant votre réponse par courrier à l'adresse suivante si vous
ne disposez pas des facilités mentionnées ci-dessus : ICOM-RTF, c/o ICOM
Secrétariat, Maison de l'UNESCO, 1 rue Miollis, 75732 Paris Cedex 15,
France.
ICOM-L
Grâce à la liste de discussion ICOM-L une discussion très enrichissante
s'est engagée sur la restructuration de l'ICOM et les différentes visions
(merci de vous reporter aux Nouvelles de l'ICOM pour un résumé de la
discussion). Cette discussion a permis de démontrer comment l'utilisation
des nouvelles technologies a contribué à intensifier les débats à tous les
organes de l'ICOM (ses membres et les personnes qui y sont affiliées ainsi
que les présidents). Le groupe de réforme a été très attentif aux récentes
discussions qui se sont engagés sur ICOM-L. Ces discussions démontrent à
quel point le courrier électronique suscite des débats actifs et animés, ce
qui n'était guère possible précédemment.
Parallèlement, un intéressant débat concernant le processus de réexamen et
ses desiderata s'est ouvert via le forum de discussion Internet de l'ICOM,
ICOM-L (pour savoir comment retrouver l'intégralité de ces débats, veuillez
consulter Les Nouvelles de l'ICOM). Ce débat a donné lieu à des échanges
ouverts, enthousiastes et souvent passionnants - ce qui montre combien ce
type de forum électronique peut considérablement favoriser le débat et la
participation de toutes les parties de l'organe social qu'est l'ICOM
(membres, affiliés et présidents confondus). A cet égard, les discussions
menées sur ICOM-L au cours des derniers mois - et auxquelles le Groupe de
travail a prêté la plus grande attention - démontrent mieux que jamais le
potentiel que représentent les médias électroniques pour la participation et
le débat au sein de l'ICOM.
QUE SOUHAITONS NOUS OBTENIR DE VOTRE PART ?
Dans un premier temps (et dans l'immédiat), merci de lire et de faire
circuler au sein de vos comités les documents ci-joints et, surtout, d'en
discuter et d'y réagir.
1. la Déclaration de valeurs
2. la Déclaration de mission
3. les Scénarios stratégiques sur l'avenir de l'ICOM élaborés par le
Groupe de travail en vue d'un examen par vos soins.
Veuillez noter que ces documents sont encore tous à l'état de PROJETS, et
donc ouverts à discussion et révision, lesquelles auront lieu : (a) en
réponse à vos commentaires (qui devront nous parvenir le 17 mars 2000 au
plus tard si possible par email [[log in to unmask]] et (b) après les
réunions des Comités consultatif et exécutif, en juin prochain.
MERCI DE LIRE ATTENTIVEMENT LES SCÉNARIOS STRATEGIQUES PROPOSÉS POUR LA
RESTRUCTURATION DE L'ICOM AINSI QUE LES PLANS D'ACTION.
[Propositions A.1 jusqu'à E.6]
Vous constaterez que les cinq Scénarios stratégiques que nous suggérons
contiennent (implicitement ou explicitement) des projets de Plans d'action.
Par ailleurs, ils annoncent de possibles Recommandations de changement dans
la structure, les objectifs et le fonctionnement de l'ICOM, changements qui
découleront des processus par nous déjà amorcés.
(Des Recommandations spécifiques seront clarifiées ultérieurement, qui
tiendront compte des informations que vous êtes invités à transmettre, vous
et l'ensemble des membres de l'ICOM.)
EN RESUMÉ
Il n'est PAS NECESSAIRE que vous répondiez à chaque proposition. Le plus
important est que vous étudiez (et c'est ma principale requête) tout
particulièrement les problèmes et les questions posés ci-dessous, et ce afin
de nous aider à accélérer notre travail
QUESTIONS PRIMORDIALES
I. Quelles réponses importantes souhaitez-vous apporter aux différentes
propositions et au processus élaboré jusqu'à présent (remarques générales) ?
II. En particulier, si vous êtes président d'un Comité ou responsable au
sein d'une Comité, comment les changements que nous proposons affectent-ils
:
- a. les intérêts des membres de votre comité ?
* b. le travail de votre comité dans son ensemble ?
*
III. S'agissant des changements envisagés, quelles sont les implications
sur :
- a. les ressources financières ?
* b. les ressources humaines ?
*
IV. Selon vous, que manque-t-il à nos propositions ?
VEUILLEZ RETOURNER VOS RÉPONSES À L'ICOM-RTF (AUX BONS SOINS DU SECRÉTARIAT
DE L'ICOM) LE 17 MARS 2000 AU PLUS TARD si possible par email
([log in to unmask]) pour les présidents de Comités.
NOUS AVONS BESOIN DE CES RÉPONSES POUR ÉLABORER LES DOCUMENTS QUI SERONT
SOUMIS À VOTRE EXAMEN LORS DES SESSIONS DU COMITÉ CONSULTATIF, EN JUIN 2000.
Je tiens à remercier tous ceux qui nous ont aidés dans notre tâche en
offrant généreusement leur temps, leur soutien et leurs idées. Par vos
opinions, vos discussions et vos suggestions, la participation en dehors de
notre cercle immédiat (en particulier via ICOM-L) a été dynamique et
encourageante. Soyez sûrs que nous avons su l'apprécier.
Bernice Murphy, (Vice-présidente de l'ICOM et coordinatrice, Groupe de
travail ICOM-RTF pour le réexamen de l'ICOM)
Les documents sont les suivants :
- A] Déclaration des valeurs de l'ICOM
- B] Déclaration de mission de l'ICM
- C] Cinq scénarios stratégiques sur le futur de l'ICOM
A] DÉCLARATION DES VALEURS DE L'ICOM
[Projet n°1, décembre 1999]
Valeurs de l'ICOM :
* Déontologie et normes concernant les musées et le patrimoine
culturel
- Respect de la diversité
- Soutien mutuel
- Réseau de compétences professionnelles
- Développement durable dans différents contextes sociaux
B] DÉCLARATION DE MISSION DE L'ICOM
[Projet n°1, décembre. 1999]
[Les déclarations suivantes indiquent la mission de l'ICOM]
L'ICOM est l'organisation de musées* et de professionnels* de musée qui se
consacre à la protection et à la communication du patrimoine culturel* dans
le monde.
L'ICOM définit les normes déontologiques internationales applicables aux
musées et promeut les pratiques professionnelles et l'assistance mutuelle
via des réseaux de compétences.
En tant qu'organisation non gouvernementale à but non lucratif, l'ICOM
défend le développement durable* et le respect de la diversité culturelle
dans le monde entier.
*Termes à définir plus précisément
C]. [ICOM-RTF] INDICATEURS DE SUCCÈS (L'ICOM DANS LES CINQ PROCHAINES
ANNÉES)
RÉVISIONS 1 - 21/27 DÉCEMBRE 1999
SCÉNARIO A. L'ICOM EST UN LEADER RECONNU INTERNATIONALEMENT DANS LE
DOMAINE MUSEAL ET UN PARTICIPANT ACTIF DANS LE SECTEUR DU PATRIMOINE
CULTUREL
[Le Scénario A implique les résultats suivants d'ici à cinq ans ]
1. L'ICOM est visible et reconnu dans les média écrits et électroniques
comme leader dans les secteurs du musée et du patrimoine culturel. Son
opinion est recherchée et prise en compte.
2. L'ICOM est reconnu par ses importants partenaires et actionnaires.
Dans le monde entier, il est régulièrement consulté sur des questions liées
aux musées et au patrimoine culturel.
3. L'ICOM a mis en pratique son Programme d'action triennal
définissant ses plates-formes et partenaires prioritaires (par exemple,
Union européenne, UNESCO, ICOMOS, ICCROM), ainsi que les moyens d'assurer sa
contribution active aux débats cruciaux.
4. Dans le cadre de son Programme d'action triennal, l'ICOM a, d'une
part, anticipé les principales questions concernant les musées et les
organes liés au patrimoine culturel. D'autre part, il est à l'initiative de
réflexion sur des thèmes précis où il a affirmé sa position.
5. Les membres de l'ICOM tout comme les responsables dans le secteur du
patrimoine culturel déclarent que l'ICOM souhaite ardemment discuter des
problèmes de manière proactive.
6. Via son processus d'identification des problèmes, ses études et sa
base de données, l'ICOM a permis aux Comités nationaux d'informer les
gouvernements nationaux sur des questions de portée internationale
(UNIDROIT, par exemple).
7. L'ICOM fait l'unanimité de ses membres et partenaires pour ses
positions avancées sur des sujets sensibles et des problèmes difficiles
(trafic illicite, par exemple).
8. L'ICOM possède les compétences requises pour assumer une position de
leader en matière de musées et de patrimoine culturel, et ce via son
Président, son Conseil exécutif, son Comité consultatif, son Secrétaire
général et son Secrétariat.
9 Les Comités nationaux ont reconnu l'éminence de leur rôle et de
leurs responsabilités en tant que base de ressources et base de données de
l'ICOM.
SCÉNARIO B. EN SE FONDANT SUR SON CODE DE DÉONTOLOGIE PROFESSIONNELLE ET
SES RÉSEAUX DE COMPÉTENCES, l'ICOM A SU PROMOUVOIR LE PARTAGE DES
CONNAISSANCES ET DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES.
[Le Scénario B implique les résultats suivants d'ici à cinq ans ]
1. Les Comités internationaux de l'ICOM et, le cas échéant, les
Organisations affiliées, sont reconnus par l'ICOM et par le secteur muséal
comme des sources les plus importantes pour les questions touchant les
connaissances et les pratiques professionnelles.
2. En coopération avec les Comités internationaux concernés, les
Organisations régionales et, le cas échéant, les Organisations affiliées,
l'ICOM a développé des programmes régionaux qui proposent des pratiques
basées sur le Code de déontologie professionnelle.
3. Outre leurs propres priorités, les Comités internationaux ont
identifié dans leurs secteurs de connaissances et de pratiques
professionnelles des questions fondamentales qui sont en accord direct avec
la vision de l'ICOM. Elles sont documentées par des études de cas
accessibles aux membres de l'ICOM via le Centre de documentation, les
publications et le site Web de l'ICOM.
4. L'ICOM a mis en place des mécanismes pour favoriser le partage des
compétences (par exemple, un modèle ou manuel sur le développement d'AFRICOM
ou d'ICOM-Arabe), et ce via des programmes de développement qui définissent
les méthodologies de formation et les normes applicables.
5. Le Code de déontologie Professionnelle de l'ICOM a fait l'objet des
réexamens et des révisions nécessaires.
6. L'ICOM et ses Comités internationaux collaborent actuellement avec
les associations nationales de musées pour apporter la formation et les
capacités professionnelles ad hoc.
SCÉNARIO C. ICOM OFFRE UN CADRE DE TRAVAIL SOUPLE ET COHÉRENT POUR
COMMUNIQUER INFORMATIONS ET PLAIDOYERS.
[Le Scénario C implique les résultats suivants d'ici à cinq ans ]
1. L'ICOM a identifié les questions fondamentales affectant le secteur
muséal et a recherché les moyens de défendre et de diffuser publiquement les
valeurs, politiques et connaissances de l'Organisation concernant ces
questions via :
a) ses organes constituants
b) les voies de communication appropriées
2. L'ICOM a mis en place les moyens et le personnel expérimenté
capables d'optimiser son utilisation des médias électroniques et autres.
3. L'ICOM s'est résolument engagé dans la voie de l'interconnexion
électronique à tous les niveaux, assurant ainsi l'efficacité et la
disponibilité des communications et des échanges.
4. L ICOM offre à ses membres des forums de discussions grâce aux
nouveaux moyens électroniques qui servent également d'outils d'éducation et
de formation.
5. L'ICOM a mis en oeuvre une politique proactive de communication, qui
s'efforce d'accorder une attention aussi égale que diverse aux questions
concernant les musées et le patrimoine culturel.
6. L'ICOM a élargi la diffusion de ses informations via ses partenaires
et les réseaux commerciaux.
7. Le site Web de l'ICOM reçoit un prix international du " meilleur
site " pour sa conception et son fonctionnement efficaces.
SCÉNARIO D LES MEMBRES CONSIDÈRENT l'ICOM COMME UNE ORGANISATION "
PROACTIVE ", SOUPLE, EFFICACE ET INNOVANTE.
[Le Scénario D implique les résultats suivants d'ici à cinq ans ]
1. L'ICOM a redéfini son organisation et sa structure opérationnelle
pour en optimiser l'efficacité et la souplesse. La structure
organisationnelle est définie comme un cercle qui intègre ces divers
instances : Comités nationaux et internationaux, Président, Conseil
exécutif, Secrétaire général et Secrétariat.
2. L'ICOM applique sa politique dans le secteur de la communication,
des publications, d'Internet et de la gestion de ses membres.
3. Le nombre des membres adhérant aux Comités internationaux a augmenté
de 25 %.
4. Tout indique que les membres adhèrent au concept de l'ICOM et
profitent des occasions qu'offre l'ICOM de contribuer au secteur muséal dans
le monde entier aussi bien que de recevoir des avantages
personnels/professionnels.
5. L'ICOM, ainsi que ses Comités nationaux et internationaux, ont
élaboré et mis en oeuvre des programme inter-comités, interrégionaux et
interdisciplinaires.
6. Selon plus de 75 % des personnes interrogées lors d'une enquête
réalisée auprès des membres, ICOM News fournit à ses membres des
informations pertinentes du point de vue de l'actualité, tant concernant
l'ICOM que ses prévisions d'activités et de programmes.
7. Le site Web ICOM-L et les groupes de discussion spécialisés sont
activement utilisés.
8. Les Comités internationaux et les Organisations affiliées se
positionnent résolument comme des "Comités permanents" de l'ICOM ; ils
identifient et définissent les problèmes, et ils représentent une base de
compétences qui assure la participation constante d'une diversité de
spécialistes.
9. L'ICOM est perçu comme un promoteur d'échange de compétences à
l'échelon international (à l'instar du Reseau de sécurité des musées par
exemple).
SCÉNARIO E. LES MEMBRES DE l'ICOM ONT LE SENTIMENT DE FAIRE PARTIE D'UNE
ORGANISATION VIVANTE, OÙ ILS SONT CONSULTÉS ET COMPTENT VRAIMENT.
[Le Scénario E implique les résultats suivants d'ici à cinq ans ]
1. L'ICOM fonctionne comme une base de ressources active qui facilite
l'échange de compétences parmi les comités, les régions, les membres
individuels et le Secrétariat.
2. L'ICOM a mis en place une base de données actualisée sur les musées
qui est disponible sur Internet.
3. L'ICOM a identifié des interlocuteurs dans certains musées (prenant
en exemple l'Association des musées hollandais), qui sont mentionnés dans la
base de données en ligne de l'ICOM et offrent leurs compétences.
4. L'ICOM a mis au point des modèles de programmes de coopération et
les a diffusés en vue de leur adoption, tant à l'échelle nationale
qu'internationale.
5. L'ICOM a été submergé de réponses positives à une question sur son
formulaire d'adhésion demandant à chaque membre les compétences qu'il
pouvait offrir. Ces offres ont été transférées dans la base de données des
Ressources muséales.
6. Les personnes clé de l'ICOM (par exemple, Président, présidents du
Comité consultatif, membres du Conseil exécutif et Secrétaire général) sont
présentes et visibles aux réunions importantes des secteurs muséaux et
culturels, ainsi qu'aux réunions des comités de l'ICOM qui se sont tenues
dans le monde entier.
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